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Crises cardiaques et infarctus mortels en France

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Crises cardiaques et infarctus mortels en France

Infos complementaires
Les personnes exposées au stress dans leur travail auraient un risque 23 % plus élevé que celles qui n'y sont pas exposées de faire un infarctus (arrêt cardiaque)

Il y a environ 60 000 crises cardiaques en France chaque année. Le nombre de personnes qui meurent par infarctus en France représente environ 14 personnes par jour, soit 2400 décès par an. La mortalité de l'infarctus, jusqu'au 30eme jour qui suit, est en effet passée de 13,7% en 1995 à 4,4% en 2010

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Nombre d'infarctus en France

 

 

causes mortalite mondiale

 

 

 

Combien d'infarctus en France ?

 

En 2011, en France, 60 000 crises cardiaques ont été recensées, entraînant la mort de 2400 personnes.
En France, 30 % des décès sont d'origine cardiovasculaire.  L'infarctus ou crise cardiaque concerne 120.000 personnes par an.
Chaque année en France 200.000 personnes présentent un syndrome de menace d'infarctus. Publiée dans le prestigieux New England Journal of Medecine, qui lui consacre même son édito, elle a été menée sur 4.000 patients dans 19 pays européens. Elle a été réalisée par une équipe française, dirigée par le Pr Gilles Montalescot, cardiologue à l'Institut de Cardiologie, situé à l'hôpital de la Pitié-Salpêtrière à Paris, et président du groupe Action-Cœur.Différence entre infarctus et syndrome de menace d'infarctusL'infarctus ou crise cardiaque concerne 120.000 personnes par an. C'est un caillot qui bloque la circulation sanguine dans une artère du cœur. Une zone du cœur peut être endommagée et l'infarctus peut être mortel.La menace d'infarctus touche 200.000 personnes. Les signes prémonitoires qui annoncent qu'un infarctus peut survenir dans les jours ou les semaines suivantes sont des douleurs thoraciques principalement, et suffisamment importantes pour appeler le Samu ou aller à l'hôpital.
Chaque année en France 200.000 personnes présentent un syndrome de menace d'infarctus. Publiée dans le prestigieux New England Journal of Medecine, qui lui consacre même son édito, elle a été menée sur 4.000 patients dans 19 pays européens. Elle a été réalisée par une équipe française, dirigée par le Pr Gilles Montalescot, cardiologue à l'Institut de Cardiologie, situé à l'hôpital de la Pitié-Salpêtrière à Paris, et président du groupe Action-Cœur.
Différence entre infarctus et syndrome de menace d'infarctus
L'infarctus ou crise cardiaque concerne 120.000 personnes par an. C'est un caillot qui bloque la circulation sanguine dans une artère du cœur. Une zone du cœur peut être endommagée et l'infarctus peut être mortel.
La menace d'infarctus touche 200.000 personnes. Les signes prémonitoires qui annoncent qu'un infarctus peut survenir dans les jours ou les semaines suivantes sont des douleurs thoraciques principalement, et suffisamment importantes pour appeler le Samu ou aller à l'hôpital.
En 2010, on mourrait deux fois moins qu'en 1995 en cas d'infarctus du myocarde mais l'accident survient à des âges plus précoces qu'alors.
Les personnes exposées au stress dans leur travail auraient un risque 23 % plus élevé que celles qui n'y sont pas exposées de faire un infarctus (arrêt cardiaque) : ce sont les résultats d'étude menée par des chercheurs de l'INSERM
Pour qu'une artère du cœur se bouche, il faut la conjonction de deux phénomènes: une lésion de la paroi de l'artère et la formation d'un caillot.
Dans le cas des personnes âgées, les lésions sont souvent grandes, notamment quand le système vasculaire a été détérioré par le tabac, le diabète, ou l'hypercholestérolémie, ou l'hypertension artérielle…) Les thromboses sont favorisées par ces consommations et sont à l'origine de plus de la moitié des infarctus surviennent chez des personnes de plus de 75 ans. Chez les moins de soixante ans, en revanche, ce n'est généralement pas la lésion des artères qui est la cause principale mais bien l'obstruction par un caillot. 
La mortalité de l'infarctus, jusqu'au 30e jour qui suit, est en effet passée de 13,7% en 1995 à 4,4% en 2010. On pense parfois que le cap des 48 premières heures est le plus délicat mais, en réalité, on compte deux fois plus de décès entre le 3e et le 30e jour qui suivent l'infarctus que dans les deux premiers jours. Toutefois, cette mortalité «retardée» est aussi en baisse: de 10% en 1995 à 3% en 2010.
à l'hôpital, les trois quarts des patients bénéficient désormais d'une reperfusion en cas d'infarctus, 61% par angioplastie et 14% par une destruction médicamenteuse du caillot (fibrinolyse). En 1990, ce n'était le cas que pour la moitié des malades. Un progrès qui concerne aussi les patients de plus de 75 ans, lesquels représentent toujours la moitié des infarctus recensés: alors que seuls 5% d'entre eux bénéficiaient d'une reperfusion en 1995, ils sont aujourd'hui 54%.

60.000

En 2011, en France, 60 000 crises cardiaques ont été recensées, entraînant la mort de 2400 personnes.

 

30%

En France, 30 % des décès sont d'origine cardiovasculaire.  L'infarctus ou crise cardiaque concerne 120.000 personnes par an.



200.000

Chaque année en France 200.000 personnes présentent un syndrome de menace d'infarctus. Autrement dit, la menace d'infarctus touche 200.000 personnes. 

 

L'infarctus ou crise cardiaque concerne 120.000 personnes par an.

 

 

1

Les maladies cardio-vasculaires sont la première cause de mortalité sur le plan mondial. 

 

 

 

Différence entre infarctus et syndrome de menace d'infarctus

 

L'infarctus ou crise cardiaque concerne 120.000 personnes par an. Il est provoqué par caillot qui bloque la circulation du sange dans une artère du cœur. Une zone du cœur peut être endommagée et l'infarctus peut être mortel.

 

Les signes prémonitoires qui annoncent qu'un infarctus peut survenir dans les jours ou les semaines suivantes sont des douleurs thoraciques principalement, et suffisamment importantes pour appeler le Samu ou aller à l'hôpital.

 

En 2010, on mourrait deux fois moins qu'en 1995 en cas d'infarctus du myocarde mais l'accident survient à des âges plus précoces qu'alors.

 

Les personnes exposées au stress dans leur travail auraient un risque 23 % plus élevé que celles qui n'y sont pas exposées de faire un infarctus (arrêt cardiaque) : ce sont les résultats d'étude menée par des chercheurs de l'INSERM

 

 

Pour qu'une artère du cœur se bouche, il faut la conjonction de deux phénomènes: une lésion de la paroi de l'artère et la formation d'un caillot.

 

Dans le cas des personnes âgées, les lésions sont souvent grandes, notamment quand le système vasculaire a été détérioré par le tabac, le diabète, ou l'hypercholestérolémie, ou l'hypertension artérielle…) Les thromboses sont favorisées par ces consommations et sont à l'origine de plus de la moitié des infarctus surviennent chez des personnes de plus de 75 ans. Chez les moins de soixante ans, en revanche, ce n'est généralement pas la lésion des artères qui est la cause principale mais bien l'obstruction par un caillot. 

 

4.4%

La mortalité de l'infarctus, jusqu'au 30e jour qui suit, est en effet passée de 13,7% en 1995 à 4,4% en 2010. On pense parfois que le cap des 48 premières heures est le plus délicat mais, en réalité, on compte deux fois plus de décès entre le 3e et le 30e jour qui suivent l'infarctus que dans les deux premiers jours. Toutefois, cette mortalité «retardée» est aussi en baisse: de 10% en 1995 à 3% en 2010.

 

A l'hôpital, les trois quarts des patients bénéficient désormais d'une reperfusion en cas d'infarctus, 61% par angioplastie et 14% par une destruction médicamenteuse du caillot (fibrinolyse). En 1990, ce n'était le cas que pour la moitié des malades. Un progrès qui concerne aussi les patients de plus de 75 ans, lesquels représentent toujours la moitié des infarctus recensés: alors que seuls 5% d'entre eux bénéficiaient d'une reperfusion en 1995, ils sont aujourd'hui 54%.

 

Comment réduire le risque d'infarctus ?

 

Selon une étude suédoise réalisée  entre 1997 et 2009 auprès de plus de 20 000 hommes de 45 à 79 ans, le simple fait de respecter les 5 comportements suivant permettrait de réduire de 79 % le risque d'infarctus.

 

Une alimentation saine, riche en fruits, légumes, noix, céréales complètes, graines et poissons, une consommation d’alcool  modeste (1 à 3 verres par jour), pas de tabac, une activité physique régulière (au moins 40 minutes de marche ou de vélo par jour et 1 heure d’exercice par semaine), un tour de taille inférieur à 95 cm… 

 

 

 

 

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Commentaires / Ajouts

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Message de : FISER

Je trouve déplacé de partler de nombre de mort sur l
Message de : FISER

Je trouve étonnant que l'on parle autant du nombre de morts sur la route qui représente 150 fois moins de morts que ceux liés aux crises cardiaques.
Message de : PAULET

Bonjour, Je trouve au contraire très pertinente cette remarque concernant les accidents de la route - On pourrait même parler de mort de la route directe et indirecte, si aujourd hui, la repression aveugle dans ce pays limite le nombre de mort directe, le nombre de mort indirecte de la route (ou de la police ou des politiques repressives aveugles menées depuis 20 ans) explosent. Mort par infarctus (il n'y a qu'a voir le nombre de professionnel de la route dans les centres de reéducation cardiaque après un infarctus), suicide (après la perte d'un emploi, d'une mort sociale), dépression et autres ... La repression sur les routes dans ce pays n'a qu'un but : remplir les caisses d'un état toujours plus avide !



Repères

 Statisques Mondiales
Mortalité

 

  

40%
Cause environnementale. Une étude de la revue Human Ecology menée en 2007 le démontre : 40% des décès dans le monde résultent de différents facteurs environnementaux, notamment les polluants chimiques, le tabac et la malnutrition.

 mégapoles mondiales

1,3 million
 1,3 million de personnes perdent la vie dans un accident de la circulation, dont 90% dans les pays en développement 
 
226 000 
Il y a environ 226 000 centenaires dans le monde en 2010. En 2050, ce nombre pourrait être multiplié par 20
74%des décès d'enfants de - de 5 ans se passent en Afrique et Asie du sud-est

99.92%
c'est le taux de crémation au Japon faute de place dans les cimetières. En France, le taux de crémation était de 32% des décès en 2011. (association française d'information funéraire)
 

70,5
L’espérance de vie moyenne mondiale est de 70,5 ans. Dans les pays riches, elle est de 76 ans. Dans les pays pauvres, elle est de 65 ans.

Ozone. Selon un rapport de l'Académie nationale américaine des sciences publié en avril 2008, les niveaux actuels de pollution à l'ozone dans l'air, mesurés aux Etats-Unis, vont probablement entraîner le décès prématuré de nombreuses personnes même si celles-ci ne sont exposées que brièvement.

5 000 000
Malnutrition.
La malnutrition est une pathologie principalement causée par l'absence d'éléments nutritifs essentiels. Entre 2 et 5 millions d’enfants malnutris meurent chaque année. 

La malnutrition est à l'origine de la moitié des décès des enfants de moins de cinq ans.

99 %
Décès maternel.
Selon un rapport de l'UNICEF ("Progrès pour les enfants"), plus de 99% des 536.000 décès maternels dans le monde en 2005 sont survenus dans des pays en développement et la moitié en Afrique sub-saharienne.

 



Le risque de décès maternel sur la vie entière est de 1 sur 22 en Afrique subsaharienne et de 1 sur 8.000 dans les pays industrialisés !

 

13,8
D’après l'Insee, les hommes vivent en moyenne 13,8 années de plus qu’en 1950 et les femmes 14,9, alors que le taux de mortalité infantile a diminué de près de 48,3‰ en France pour la même période.

mortalité
Comment faire de sa mort un acte écolo ?


84,5

L'espérance de vie à la naissance des femmes françaises a progressé de 2 mois en 2009 par rapport à 2008.

Une fille née en 2009 peut espérer vivre jusqu'à 84 ans et demi (si les conditions de mortalité à chaque âge restent identiques tout au long de sa vie à celles de 2009)

cimetière mortalité

77,8
Pour les hommes en France, l'espérance de vie à la naissance a, également, augmenté de deux mois pour atteindre 77,8 ans. Leur gain d'espérance de vie s'explique, en grande partie, par le recul de la mortalité entre 70 et 79 ans.

 

 

3,8
Avec 3,8 décès d'enfants de moins d'un an pour 1 000 naissances vivantes en 2009 en France

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