Statistiques mondiales écologiques en temps réel*

Nombre de porcs abattus en Chine

La consommation de porc en Chine

Attention au porc chinois, il est bourré de produits chimiques toxiques

la Chine élève 689 millions de porcs, soit près de la moitié de la population porcine mondiale.

Au cours des vingt dernières années, la consommation chinoise a plus que doublé, estime l’US Department of Agriculture (USDA). En moyenne, un Chinois mange 39,3 kilogrammes de viande de porc chaque année, contre 19,7 kilogrammes en 1990.

 La viande de porc représente les trois quarts de la consommation de viande en Chine.

Sur 4 tonnes produites dans le monde, une tonne est consommée dans le pays

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L’horreur de l’élevage des porcs

Visiter des élevages des cochons est aujourd’hui l’une des expériences les plus traumatisantes qui soient. Les éleveurs s’arrangent pour que tous les porcelets naissent pile le même jour et donc leurs mères sont piquées aux œstrogènes et l’ocytocine pour synchroniser gestation et mise bat.

Comme on s’est arrangé pour que les truies n’aient plus 10 porcelets comme le prévoit la nature mais 17 ou 18, on bricole génétiquement des truies avec le nombre adéquat de tétines. Comme ces mamans cochons ne bougent pas de leur case, qu’elles dorment au-dessus de leurs déjections (le lisier) et que, bref, leur santé est fragile en ce milieu ultra confiné, on les bourre d’anti-inflammatoires et d’antibiotiques pour que nos petits porcelets ne tombent pas malades. Miam miam.

Métaux : zinc, sulfate de cuivre, chrome, ou l'arsenic qui à faibles doses sert contre les maladies parasitaires ou pour l'aspect de la peau

Colorants : le rouge de soudan, un colorant synthétique cancérigène qui n'est plus autorisé en Europe depuis 1995.

Comprimés pour la toux

Vaccins : plus d'une dizaine de vaccins sont administrés aux porcelets contre seulement 4 indispensabels en Europe (contre la grippe porcine, la maladie d'Aujueszky, la fièvre aphteuse et les streptocoques)

Aspect de la peau : certains éleveurs pour rendre la peau de leurs porcs plus brillante, ajourent à leur alimentation du sulfate de cuivre ou de l'arsenic organiques ; ce qui intoxiques les porcs.

Antibiotiques : sulfamides, quinolones, tétracyclines, macrolides, …

Dopants musculaires : salbutamol (= ventoline),  ractopamine, et  chlorhydrate de clenbutérol. Ce dernier est devenu la norme dans les élevages chinois. C'est un  produit illégal interdit par l'Agence mondiale antidopage, sert à augmenter la masse musculaire des porcs, à éliminer les graisses.

 Alerte au porc chinois